Je n'écrit plus ici et j'en suis désolé,

par contre j'écoute "the man in a suitcase" (l)

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Mes veines se gonflent et mes muscles se réctractent,

Idéo carnacier? Souvenirs écailleux comme du lait me font vomir.

Et quand les gens rient que'est-ce que je fais moi? Et même si je suis,

Drôle à en crever je vous cracherais bien dessus même si c'est vulgaire...

Si je devait choisir entre le gout et le toucher je te choisirai toi </3

Je ne suis plus avec vous, mais qui est avec moi? Uhuh c'est drole

A en pleurer parce que vous ne comprenez rien. Ou peu être triste à en rire je sais plus.

Mon nouveau portable a la classe <3

J'ai l'inpindicite du coeur et une migraine de la main,

Le sentiment de solitude renforce la conviction de l'ermite mais pas les miennes.

Je deteste ces jours trop fades qui tardent à murire. Dehors il fait plus que pleuvoir.

Il pleure, il pleur ces dimanches, il pleur l'inquiètude et mouille l'amertume.

Je n'aime pas telement novembre sous la pluie je prefère être dans tes bras.

Un bon concert peut changer votre vie, Celui là a changé la mienne.

Indochine est un groupe mythique.

Comment décrire la foule, Comme un corps animé d'une seul même passion,

Mettre des mots sur un sentiment est souvent trop dur, Alors,

Si c'est déjà difficile de définir l'amour que dire de la passion, Les paroles défilent,

Parce que c'est telement bon d'avoir si mal, Ne plus respirer,  Ne plus penser,

Parce que là tu vis, ouais, un apogée,

Et quand tu te rends compte quand tout est finit,

là tu meurt, même si l'eau te redonne la vie,

C'est à ce moment là que tu te rends compte que rien ne sera jamais plus pareil.

Je veux les revoirs.

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Odeur acre, le sourire sec d'un aprem-midi sans (toi),

Miroitant l'idée de ce ciel trop bleu pour cette semaine trop froide.

Je mélange le goût et le toucher, le bien et le mal, l'étrange et le normal.

L'image du parfun brûlé de ta peau,

Désine un souffle d'étoile solaire,

Coeurs bléssés et âmes à l'eau,

Laisse le goût amère d'un baisé solitaire.

Tim Burton is a god.

J'aime Halloween mais trop de gens oublient cette fête.

Ils ne vendent plus, peu à peu tous disparait c'est ça la France...

J'aime les traditions, les rituels étranges, j'aime panic! at the disco,

j'aime les soirées chez moi, j'aime me faire peur, j'aime la haine et les pleurs.

J'aime quand tout finit, que les cheveux sentent la mer. J'aime Halloween.

Le pateux poison de mots trop durs à attendre,

Qui glissent et mordent un coeur amère.

Une solitude profonde dans la foule qui se mange,

Tu cherche de la ficelle pour te réparer, tu désespère.

=)

Le cadavre de ton odeur me rapelle celui de ce pays mort depuis trop longtemps,

Les fueilles se suicident autour de nous,

Sanglant génocide que celui de tes peines,

Et la pornographie des nuages qui ne surprend plus personne.

Que de tristes bonheurs...

Le silence attrayant suivit d'une bordonnement inexistant te reveille en sursaut.

Tes lèvres ont un gout de sel, Un mer de lasitude.

N'oubliez pas...